Nicolas Sarkozy ne boit pas d’alcool nous dit-on. Alors ses conseils en communications nous expliqueront peut-être cette scène étrange. Ce qui est sûr, c’est que le président de la République ne disposait visiblement pas de tous ses moyens, lors d’un point de presse au sommet du G8, juste après une entrevue avec Vladimir Poutine. Et même si on ne peut décemment reprocher à Nicolas Sarkozy d’avoir préjugé de sa résistance, on pourra regretter sa décision de s’afficher dans cet état face à la presse mondiale, malgré les échappatoires possibles de la diplomatie. Cette faute dévoile un manque d’expérience et de respect pour la fonction qu’il incarne. Les français jugeront… à condition qu’ils soient informés ! Car pour l’instant, ils sont tenus dans l’ignorance de l’étonnant comportement de leur président parmi ses homologues. Les grands médias nous jugeront-ils suffisamment adultes pour être informés et visionner l’intégralité de ce point de presse, qui pourrait finalement nous rassurer ?

Ce type, là, oui celui là, c'est lui qui discute bouclier nucléiare, armement, touça touça...........

Ici, c'est calme....

Certains pleurent.

J'espère que les autres cuvent leur honte.

Puisque tu pars

Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton cœur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque
L'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne
Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait perdu
Garde cette chance
Que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes
Comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte Indélébile
Sans drame, sans larme
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison
Aujourd'hui c'est l'horizon
Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir
Mais pas trop tard
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars
J'aurai pu fermer, oublier toutes ces portes
Tout quitter sur un simple geste mais tu ne l'as pas fait
J'aurai pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais ça n'était pas encore assez
Pas assez, pas assez, pas assez
Dans ton histoire (dans ton histoire)
Garde en mémoire (garde en mémoire)
Notre au revoir (notre au revoir)
Puisque tu pars (puisque tu pars)...

Elle a éteint la lumière,
Et puis qu'est-ce qu'elle a bien pu faire,
Juste après

Se balader, prendre l'air ?
Oublier le sang, l'éther
C'était la nuit ou le jour ?
Juste après

Deux, trois mots d'une prière ?
Ou plutôt rien et se taire
Comme un cadeau qu'on savoure
Qu'a-t-elle fait ?

Un alcool, un chocolat ?
Elle a bien un truc comme ça
Dans ces cas-là

Le registre, un formulaire
Son quotidien, l'ordinaire
Son univers

A-t-elle écrit une lettre ?
Fini un bouquin peut-être ?
Une cigarette ?

Qu'est-ce qu'on
Peut bien faire
Après ça ?

Elle y est surement retournée
Le regarder respirer
Puis s'est endormie

Comme dormait cet enfant
Si paisible en ignorant
Qu'on en pleurait jusqu'ici

Mais qu'est-ce qu'on peut bien faire
Après ça ?

P'tite pouffe je t'aime bien
Avec ton jean à taille basse
Sur la cambrure de tes reins
Ton string qui depasse

Tes petits seins dressés
Et ton nombril à l'air
Toi qui aime tant exhiber
Ton ventre plat dont t'es si fière

Parce qu'entre tous tes regimes
Et tes entrainements de gym
T'as l'derriere tellement parfait
J'l'imagine pas sentir mauvais

p'tite pouffe
p'tite pouffe pouf pouf

P'tite pouffe t'es si jolie
Quand j'te promene à mon bras
Je sens bien la jalousie
Dans le regard des autres gars

Tu sais, j'aime un peu moins
Quand tous ces beaux garçons
Se retournent sur ton ch'min
Et tu les traites de gros cons

Ta p'tete pas complet'ment tort
Mais crie-le un peu moins fort
J'en ai marre de faire frapper
Par des branleurs qu'ta insulté

p'tite pouffe
p'tite pouffe pouf pouf

P'tite pouf tu parles beaucoup
A vrai dire presque tout le temps
Et pour rien dire du tout
C'est ça qu'est emmerdant

Moi comme je suis bien élevé
J'fais mine de t'écouter
J'hoche la tete de temps en temps
En donnant l'air intelligent

Y'a encore qu'allongée
Qu'tu t'autorises a te taire
C'est pourquoi sans hésiter
C'est comme ca que j'te préfère

p'tite pouffe
p'tite pouffe pouf pouf (x2)

intro

P'tite pouffe je t'aime quand meme
C'est ca qui me tracasse
C'est finalement un probleme
S'amouracher d'une petasse

Parce que j'sais qu'un beau matin
Tu finiras par me larguer
Pour un beau gosse un peu crétin
Mais tellement plus baraqué

J'aurais que mes yeux pour pleurer
Et ma guitare pour me venger
Avec un peu d'mauvaise foi
J'f'rai une chanson qui s'apellera...

p'tite pouffe
p'tite pouffe pouf pouf

p'tite pouffe
p'tite pouffe pouf pouf

p'tite pouffe

Monsieur ROuX

"Prenez un tosh'....."

qu'il m'a dit, le charmant vendeur de la fnac ( les vendeurs de la fnac sont rarement des cageots, soit dit en passant.)
J'ai obtempéré.
Et me voilà de retour à la maison avec un portable flambant neuf.

Mes deux mois et demi d'attente pour la réparation de mon ancien pc ne sont maintenant plus qu'un souvenir, et je suis presque reconnaissante à ACER et à ses ateliers d'avoir tant fait trainer ma réparation.
Je vais même me faire assez facilement à windows vista. Et s'il est controversé, c'est aussi un système joli, avec de belles icones, un navigateur pourvu d'onglets...
Alors non, ne me jeter pas la pierre, disciples de Linux. Si je suis infidèle, ce n'est que par manque de culture linuxienne; et si j'arrive à installer un programme en deux coup de cuillère à pot sous win, sous Linux ça ne se passe pas sans crise de nerfs, cassage de tête, envie de jeter l'engin par la fenêtre...

Et ça serait dommage de le defenestrer, non ?